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Nathalie Lefèvre

Auteure, Coach et Journaliste

À PROPOS

Ils en parlent :
Presse / Web

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Ce matin, j’étais très en avance à la gare. C’est ironique quand on sait à quel point j’ai été une grande partie de ma vie en retard. J’ai raté beaucoup de trains et couru jusqu’à l’asphyxie pour sauter dans certains. J’ai fait patienter des rendez-vous, des urgences, des besoins.

Et puis, j’ai changé. Je crois que je me suis calée sur le rythme de ma sérénité. Même mon corps le raconte : jusque dans mes cycles, mes réactions, ma densité.

Cette année, j’ai clôturé un cycle. Ça n’a pas toujours été facile, mais ça a été évident. Il était temps de faire place à autre chose. Dans mes habitudes, mes réflexes, mes mouvements.

Il y a pile un an, j’étais déprimée. Je passais beaucoup d’heures à pleurer. Je marchais des heures dans les rues et dans ma tête, sans savoir où aller. J’allais à l’église pour confier sans toujours y croire, mon cœur fatigué. J’étais démunie, perdue, mais pas sans espoir. Juste incapable de reconnaître mon ancien reflet dans un miroir.

Il y a sept ans, je dédiais mon premier livre « à l’absolu et au refus de compromis ». Quand j’y repense aujourd’hui, c’est sûrement une des plus belles promesses que je me sois faites.

Dans cette vie, j’ai toujours décidé que je ne négocierai pas avec l’à-peu-près. Peu importe si cela revêt l’ambition de ne pas se contenter et de laisser partir ce qui pourrait sembler être la facilité.

Je veux la perfection de ce qui me correspond. Et, ces dernières semaines, je sens que je suis enfin à l’heure de ce désir profond.

Ce matin, j’étais très en avance à la gare. C’est ironique quand on sait à quel point j’ai été une grande partie de ma vie en retard. J’ai raté beaucoup de trains et couru jusqu’à l’asphyxie pour sauter dans certains. J’ai fait patienter des rendez-vous, des urgences, des besoins.

Et puis, j’ai changé. Je crois que je me suis calée sur le rythme de ma sérénité. Même mon corps le raconte : jusque dans mes cycles, mes réactions, ma densité.

Cette année, j’ai clôturé un cycle. Ça n’a pas toujours été facile, mais ça a été évident. Il était temps de faire place à autre chose. Dans mes habitudes, mes réflexes, mes mouvements.

Il y a pile un an, j’étais déprimée. Je passais beaucoup d’heures à pleurer. Je marchais des heures dans les rues et dans ma tête, sans savoir où aller. J’allais à l’église pour confier sans toujours y croire, mon cœur fatigué. J’étais démunie, perdue, mais pas sans espoir. Juste incapable de reconnaître mon ancien reflet dans un miroir.

Il y a sept ans, je dédiais mon premier livre « à l’absolu et au refus de compromis ». Quand j’y repense aujourd’hui, c’est sûrement une des plus belles promesses que je me sois faites.

Dans cette vie, j’ai toujours décidé que je ne négocierai pas avec l’à-peu-près. Peu importe si cela revêt l’ambition de ne pas se contenter et de laisser partir ce qui pourrait sembler être la facilité.

Je veux la perfection de ce qui me correspond. Et, ces dernières semaines, je sens que je suis enfin à l’heure de ce désir profond.

Hier après-midi, je suis tombée sur mon journal intime de petite fille. Débuté à mes 7 ans et poursuivi jusqu’à mes 14, il est une relique puissante de mes pensées d’enfant et d’adolescente. Alors j’ai décidé de prendre un stylo et de continuer.

Des années plus tard, la symbolique de poursuivre l’écriture dans ce même cahier est forte.

Car au fond, qu’est-ce qui a vraiment changé ? Je suis une adulte, et le choix de mes mots sera sûrement un peu plus affiné, mais le fond reste le même.

J’aspire toujours à y voir plus clair quand c’est sombre, à encrer les bonheurs pour les rendre plus lisibles, et surtout à ne plus me sentir seule.

Parce que l’écriture a ce pouvoir magique de nous donner la sensation d’un dialogue.

Alors je vais vous partager ce que j’ai écrit aujourd’hui, vingt ans plus tard :

Cher journal,

En te relisant, je prends conscience que j’ai souvent douté que la vie puisse être simple. J’ai souffert de certaines erreurs, mais j’ai appris à n’en laisser aucune vaine. J’ai cru en moi à des époques où j’avais tout à me prouver, et c’est justement cela qui m’a toujours portée.

J’ai connu des joies dont je ne pensais pas qu’elles pouvaient être aussi grandes, et des tristesses qui m’ont parfois laissée inerte. Mais la vie a toujours su me réanimer, et j’ai toujours fait le choix de m’accrocher à elle comme à mon unique possibilité.

J’ai encore beaucoup à apprendre, car l’existence est bien la seule école dans laquelle on ne s’ennuie jamais.

Je continuerai à écrire cette vie en choisissant les mots les plus tendres, car c’est la réalité que j’aspire à me créer. Tes pages sont les témoins silencieux de mon évolution et en même temps de ce que j’ai toujours été.

Je crois que ça m’a fait du bien de te relire, ne serait-ce que pour la sensation que la petite Nathalie a vraiment connu l’amour depuis.

N.

Hier après-midi, je suis tombée sur mon journal intime de petite fille. Débuté à mes 7 ans et poursuivi jusqu’à mes 14, il est une relique puissante de mes pensées d’enfant et d’adolescente. Alors j’ai décidé de prendre un stylo et de continuer.

Des années plus tard, la symbolique de poursuivre l’écriture dans ce même cahier est forte.

Car au fond, qu’est-ce qui a vraiment changé ? Je suis une adulte, et le choix de mes mots sera sûrement un peu plus affiné, mais le fond reste le même.

J’aspire toujours à y voir plus clair quand c’est sombre, à encrer les bonheurs pour les rendre plus lisibles, et surtout à ne plus me sentir seule.

Parce que l’écriture a ce pouvoir magique de nous donner la sensation d’un dialogue.

Alors je vais vous partager ce que j’ai écrit aujourd’hui, vingt ans plus tard :

Cher journal,

En te relisant, je prends conscience que j’ai souvent douté que la vie puisse être simple. J’ai souffert de certaines erreurs, mais j’ai appris à n’en laisser aucune vaine. J’ai cru en moi à des époques où j’avais tout à me prouver, et c’est justement cela qui m’a toujours portée.

J’ai connu des joies dont je ne pensais pas qu’elles pouvaient être aussi grandes, et des tristesses qui m’ont parfois laissée inerte. Mais la vie a toujours su me réanimer, et j’ai toujours fait le choix de m’accrocher à elle comme à mon unique possibilité.

J’ai encore beaucoup à apprendre, car l’existence est bien la seule école dans laquelle on ne s’ennuie jamais.

Je continuerai à écrire cette vie en choisissant les mots les plus tendres, car c’est la réalité que j’aspire à me créer. Tes pages sont les témoins silencieux de mon évolution et en même temps de ce que j’ai toujours été.

Je crois que ça m’a fait du bien de te relire, ne serait-ce que pour la sensation que la petite Nathalie a vraiment connu l’amour depuis.

N.

On ne se pose pas assez la question de ce qu’on fait face à soi-même.

Face aux autres, nous optons le plus souvent pour l’habit le plus agréable, la posture la plus socialement appréciable, mais lorsqu’on est seul, que faisons-nous ? Comment habitons-nous notre propre présence, lorsque, fatigués du monde, nous nous déposons enfin dans notre solitude ?

Sommes-nous bien accueillis, bien traités ?

Alors parfois, je tente de faire attention à moi lorsque je suis seule. Je m’observe, je me regarde : faire, être, penser. Quelles sont les postures, les réflexes, les portes de mon esprit que je rouvre sans cesse, sans toujours y consentir ?

C’est fou comme, en réalisant cela, je prends conscience qu’il serait incroyable d’avoir envie de montrer l’exemple, non pas aux autres (ça, on y parvient sans même le vouloir) mais à soi-même.

Dans le silence ou le vacarme de notre monde intérieur, prendre la décision d’exister avec tendresse et attention. Devenir délicat dans le choix de nos mots, de nos gestes, de nos regards.

Alors oui, je sais qu’on ne contrôle pas tout. Mais j’ai l’intime conviction qu’essayer, donne déjà la sensation d’un peu y arriver.

Alors tout de suite, ce soir ou dans quelques heures, lorsque vous plongerez dans vos profondeurs et votre présence à vous-même (ce serait une jolie définition de la solitude), décidez d’y faire le plus de beau possible.

Ne serait-ce que pour en faire l’expérience.

On ne se pose pas assez la question de ce qu’on fait face à soi-même.

Face aux autres, nous optons le plus souvent pour l’habit le plus agréable, la posture la plus socialement appréciable, mais lorsqu’on est seul, que faisons-nous ? Comment habitons-nous notre propre présence, lorsque, fatigués du monde, nous nous déposons enfin dans notre solitude ?

Sommes-nous bien accueillis, bien traités ?

Alors parfois, je tente de faire attention à moi lorsque je suis seule. Je m’observe, je me regarde : faire, être, penser. Quelles sont les postures, les réflexes, les portes de mon esprit que je rouvre sans cesse, sans toujours y consentir ?

C’est fou comme, en réalisant cela, je prends conscience qu’il serait incroyable d’avoir envie de montrer l’exemple, non pas aux autres (ça, on y parvient sans même le vouloir) mais à soi-même.

Dans le silence ou le vacarme de notre monde intérieur, prendre la décision d’exister avec tendresse et attention. Devenir délicat dans le choix de nos mots, de nos gestes, de nos regards.

Alors oui, je sais qu’on ne contrôle pas tout. Mais j’ai l’intime conviction qu’essayer, donne déjà la sensation d’un peu y arriver.

Alors tout de suite, ce soir ou dans quelques heures, lorsque vous plongerez dans vos profondeurs et votre présence à vous-même (ce serait une jolie définition de la solitude), décidez d’y faire le plus de beau possible.

Ne serait-ce que pour en faire l’expérience.

Live questions/réponses

Thématiques : Deuil, renaissance et foi

Live questions/réponses

Thématiques : Deuil, renaissance et foi

Il n’y a pas que celles qui portent des enfants, il y a celles qui portent autre chose.

L’engagement, l’envie, les projets. Parfois le doute, la douleur ou le vide. Toutes sont fécondes, au plus profond de leur ventre. Toutes ressentent le pouvoir, à la fois sublime et implacable, de nos corps conçus pour créer. Destinés à porter, faire grandir, et développer.

Alors quand perdre devient une réalité, elle n’est pas seulement conceptuelle mais viscérale. Elle vient nous chercher jusque dans nos âmes.

Je partage avec celles que j’aime, que je croise et rencontre, l’étincelle de les voir pleines, d’envie, de vie ou d’enthousiasme mais je les rencontre aussi dans ce vide innommable qu’elles ressentent lorsqu’elles les ont perdus.

Les femmes perdent des enfants, des illusions, des espoirs. Mais les femmes ne perdent jamais la magie de leur pouvoir.

Je les vois s’effondrer puis se relever, crier pour s’apaiser, renaître pour continuer.

Être féconde est un cadeau. Nous ne portons pas que la vie, nous portons le mode d’emploi à la faire de nouveau exister, réapparaître et se déployer.

Il n’y a pas que celles qui portent des enfants, il y a celles qui portent autre chose.

L’engagement, l’envie, les projets. Parfois le doute, la douleur ou le vide. Toutes sont fécondes, au plus profond de leur ventre. Toutes ressentent le pouvoir, à la fois sublime et implacable, de nos corps conçus pour créer. Destinés à porter, faire grandir, et développer.

Alors quand perdre devient une réalité, elle n’est pas seulement conceptuelle mais viscérale. Elle vient nous chercher jusque dans nos âmes.

Je partage avec celles que j’aime, que je croise et rencontre, l’étincelle de les voir pleines, d’envie, de vie ou d’enthousiasme mais je les rencontre aussi dans ce vide innommable qu’elles ressentent lorsqu’elles les ont perdus.

Les femmes perdent des enfants, des illusions, des espoirs. Mais les femmes ne perdent jamais la magie de leur pouvoir.

Je les vois s’effondrer puis se relever, crier pour s’apaiser, renaître pour continuer.

Être féconde est un cadeau. Nous ne portons pas que la vie, nous portons le mode d’emploi à la faire de nouveau exister, réapparaître et se déployer.

🎞️ de fin d’été

Cette saison est passée comme une tornade d’imprévus et de réjouissances. Je me surprends à apprécier ces retrouvailles avec l’automne. Chaque année je peine à laisser s’enfuir l’été, son intensité, mais là je rêve de douceur, de calme et de sérénité. De couvertures chaudes, de câlins et de feu de cheminée. L’été nous sort, nous expose, nous allume. L’automne nous enveloppe, nous ralentit, et nous ramène. À ce qui compte, non pas juste de vivre mais de ressentir au creux de nous-même.

Bienvenue dans nos coulisses 🤎

🎞️ de fin d’été

Cette saison est passée comme une tornade d’imprévus et de réjouissances. Je me surprends à apprécier ces retrouvailles avec l’automne. Chaque année je peine à laisser s�’enfuir l’été, son intensité, mais là je rêve de douceur, de calme et de sérénité. De couvertures chaudes, de câlins et de feu de cheminée. L’été nous sort, nous expose, nous allume. L’automne nous enveloppe, nous ralentit, et nous ramène. À ce qui compte, non pas juste de vivre mais de ressentir au creux de nous-même.

Bienvenue dans nos coulisses 🤎

La magie de nos idées

La magie de nos idées

Révéler son feu sacré 🔥

Révéler son feu sacré 🔥

12h53. Allongée sur la table d’opération, je sens la morsure du froid, une lumière glaciale au-dessus de moi, presque chirurgicale jusque dans son éclat. Les infirmières perçoivent ma fébrilité, et déjà, quelques larmes silencieuses glissent sur mes joues.

Dans quelques instants, mon bras sera ouvert, traversé d’une broche et de quelques vis pour remettre l’os dans son axe. Dis comme ça, j’ai l’impression d’être un chantier, un corps transformé en matière à réparer.

Elles m’attachent les jambes avec douceur, m’enveloppent de couvertures pour ramener un peu de chaleur, et me proposent un remède inattendu : de la musique.

En cet instant précis, j’ai besoin de la force d’une icône. Alors je choisis Dalida. L’anesthésiste, un peu trop léger, me souffle qu’il adore Mourir sur scène. « Dans ce cas précis, on va éviter ». J’opte pour Le temps des fleurs, une chanson légère, bucolique, une promesse de printemps à venir.

Quelques secondes à peine… et je sombre dans un sommeil profond. Une heure plus tard, je reviens à moi. Toujours au bloc. Ma gorge est sèche, je meurs de soif. Mais déjà, on m’explique que tout s’est déroulé sans heurts. Autour de moi, la bienveillance rayonne : des sourires, des attentions et une gentillesse presque maternelle. Malgré les circonstances, ils m’ont fait me sentir en sécurité, presque choyée. C’est cela que je retiendrai. Pas la douleur, pas la peur, mais cette humanité qui s’est glissée dans chaque étape de cette contrariété.

À 18h, mes amis apparaissent, comme une lumière nouvelle. Ils viennent me chercher et la sensation de rentrer à la maison devient un baume délicieux. Après un accident, on quitte un peu son corps. C’est subtil, imperceptible, mais on flotte, légèrement en dehors de soi-même. En retrouvant les miens, la chaleur de mon foyer, et ceux qui le rendent encore plus vivant, je me suis réenracinée plus vite que je ne l’aurais imaginé.

Car le choc n’est jamais uniquement chaos. Il est, au contraire, une ouverture : l’accueil profond de nos vulnérabilités, et l’éclat de ces précieux détails qui, instantanément nous ramènent à l’essentiel. À la vie.

12h53. Allongée sur la table d’opération, je sens la morsure du froid, une lumière glaciale au-dessus de moi, presque chirurgicale jusque dans son éclat. Les infirmières perçoivent ma fébrilité, et déjà, quelques larmes silencieuses glissent sur mes joues.

Dans quelques instants, mon bras sera ouvert, traversé d’une broche et de quelques vis pour remettre l’os dans son axe. Dis comme ça, j’ai l’impression d’être un chantier, un corps transformé en matière à réparer.

Elles m’attachent les jambes avec douceur, m’enveloppent de couvertures pour ramener un peu de chaleur, et me proposent un remède inattendu : de la musique.

En cet instant précis, j’ai besoin de la force d’une icône. Alors je choisis Dalida. L’anesthésiste, un peu trop léger, me souffle qu’il adore Mourir sur scène. « Dans ce cas précis, on va éviter ». J’opte pour Le temps des fleurs, une chanson légère, bucolique, une promesse de printemps à venir.

Quelques secondes à peine… et je sombre dans un sommeil profond. Une heure plus tard, je reviens à moi. Toujours au bloc. Ma gorge est sèche, je meurs de soif. Mais déjà, on m’explique que tout s’est déroulé sans heurts. Autour de moi, la bienveillance rayonne : des sourires, des attentions et une gentillesse presque maternelle. Malgré les circonstances, ils m’ont fait me sentir en sécurité, presque choyée. C’est cela que je retiendrai. Pas la douleur, pas la peur, mais cette humanité qui s’est glissée dans chaque étape de cette contrariété.

À 18h, mes amis apparaissent, comme une lumière nouvelle. Ils viennent me chercher et la sensation de rentrer à la maison devient un baume délicieux. Après un accident, on quitte un peu son corps. C’est subtil, imperceptible, mais on flotte, légèrement en dehors de soi-même. En retrouvant les miens, la chaleur de mon foyer, et ceux qui le rendent encore plus vivant, je me suis réenracinée plus vite que je ne l’aurais imaginé.

Car le choc n’est jamais uniquement chaos. Il est, au contraire, une ouverture : l’accueil profond de nos vulnérabilités, et l’éclat de ces précieux détails qui, instantanément nous ramènent à l’essentiel. À la vie.

Et si on se reconnectait à notre passion pour la vie ? ❤️‍🔥

Retrouvez toutes les infos pour l’atelier FLAMME dans ma bio insta, et contactez nous en MP si vous avez la moindre question 🌞

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Et s’il était temps de te mettre au monde ?

Et s’il était temps de te mettre au monde ?

Ça te parle cette peur de mal faire ?

Si toi aussi, tu as envie de te vivre pleinement et dans toute la liberté que cela implique, rejoins nous pour cet atelier en présentiel à Marseille le 13 septembre prochain.

Lien d’inscription en bio 🎟️ (places limitées)
Et au plaisir de vivre à vos côtés cette expérience lumineuse et transformatrice 🔥

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Si toi aussi, tu as envie de te vivre pleinement et dans toute la liberté que cela implique, rejoins nous pour cet atelier en présentiel à Marseille le 13 septembre prochain.

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Être connecté à sa flamme 🔥

Le vie est courte, précieuse et sublime ! Êtes vous prêts à le redécouvrir?

Retrouvez toutes les infos pour s’inscrire à notre atelier dans ma bio insta 🩷

Love sur vous ✨

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Love sur vous ✨

Sexy samedi ❤️‍🔥
Épisode 1 : je me débarrasse de mes complexes pour fusionner avec ma peau

Sexy samedi ❤️‍🔥
Épisode 1 : je me débarrasse de mes complexes pour fusionner avec ma peau

Longtemps sur ce compte, je vous ai parlé de la liberté des femmes. De la mienne, en premier lieu, il n’y a que sur elle que j’ai toujours eu des leviers.

Ces dernières années, je vous ai conté d’autres choses, d’autres sujets, d’autres urgences.
Pour être sincère, je ne crois pas qu’à l’endroit de mes confusions, je me sois sentie libre, car je le suis avant tout dans mon alignement. Et puis, comme vous le savez, la vie parfois nous renverse, nous bouscule. Surtout avec une nature comme la mienne, qui se jette à cœur perdu dans ses élans et qui parfois s’égratigne des faux semblants.
Je ne me suis pas abîmée, mais je crois que je me suis sentie égarée.
Alors depuis deux ans, c’est dans une solitude féconde que j’ai pris le temps de digérer et de me réaprivoiser. Me couper de l’extérieur, un temps, m’a été salvateur. Et j’ai senti que, temporairement, le reflet des autres ne m’aidait plus à me recentrer.

Récemment, j’ai senti sous ma peau le désir fulgurant de me rendre totalement au monde. Vous le savez : les choses sont toujours bien faites. Cela a coïncidé avec ma rencontre avec mes co-producteurs l’automne dernier, la naissance d’EXTAZ, mon envie de retrouver les caméras, les projecteurs, les médias, la scène et le lien. Pas avec tous les autres — mais avec les miens. Les connus et inconnus qui me sont destinés.

Alors je crois qu’en ces temps chahutés, je suis prête à revenir à ma vocation première.
Non pas uniquement celle de vous théoriser la liberté (je n’ai jamais su faire) mais de vous en livrer une pratique. Profonde, puissante, renouvelée.
Je crois que je suis plus libre encore que dans ma liberté d’avant. Elle cachait des failles. Et soyons humbles : elle en cache peut-être encore. Mais je le sens, elle est différente et bien plus apaisée.

Cet été, je vous propose qu’on se retrouve pour des partages spontanés.
J’ai envie de vous retrouver pleinement. Je sais que cela fait longtemps que nous n’avons pas véritablement connecté. Alors n’hésitez pas à commenter si ça vous parle, si ça résonne, si ça vous inspire des mots, des envies, des idées.

J’ai déjà hâte de ce que, ensemble, nous allons de nouveau tisser ✨

Longtemps sur ce compte, je vous ai parlé de la liberté des femmes. De la mienne, en premier lieu, il n’y a que sur elle que j’ai toujours eu des leviers.

Ces dernières années, je vous ai conté d’autres choses, d’autres sujets, d’autres urgences.
Pour être sincère, je ne crois pas qu’à l’endroit de mes confusions, je me sois sentie libre, car je le suis avant tout dans mon alignement. Et puis, comme vous le savez, la vie parfois nous renverse, nous bouscule. Surtout avec une nature comme la mienne, qui se jette à cœur perdu dans ses élans et qui parfois s’égratigne des faux semblants.
Je ne me suis pas abîmée, mais je crois que je me suis sentie égarée.
Alors depuis deux ans, c’est dans une solitude féconde que j’ai pris le temps de digérer et de me réaprivoiser. Me couper de l’extérieur, un temps, m’a été salvateur. Et j’ai senti que, temporairement, le reflet des autres ne m’aidait plus à me recentrer.

Récemment, j’ai senti sous ma peau le désir fulgurant de me rendre totalement au monde. Vous le savez : les choses sont toujours bien faites. Cela a coïncidé avec ma rencontre avec mes co-producteurs l’automne dernier, la naissance d’EXTAZ, mon envie de retrouver les caméras, les projecteurs, les médias, la scène et le lien. Pas avec tous les autres — mais avec les miens. Les connus et inconnus qui me sont destinés.

Alors je crois qu’en ces temps chahutés, je suis prête à revenir à ma vocation première.
Non pas uniquement celle de vous théoriser la liberté (je n’ai jamais su faire) mais de vous en livrer une pratique. Profonde, puissante, renouvelée.
Je crois que je suis plus libre encore que dans ma liberté d’avant. Elle cachait des failles. Et soyons humbles : elle en cache peut-être encore. Mais je le sens, elle est différente et bien plus apaisée.

Cet été, je vous propose qu’on se retrouve pour des partages spontanés.
J’ai envie de vous retrouver pleinement. Je sais que cela fait longtemps que nous n’avons pas véritablement connecté. Alors n’hésitez pas à commenter si ça vous parle, si ça résonne, si ça vous inspire des mots, des envies, des idées.

J’ai déjà hâte de ce que, ensemble, nous allons de nouveau tisser ✨

On parle fantasmes ❤️‍🔥🤤🍑

Avec la fabuleuse @juliapalombe que vous pouvez aller applaudir le 5 juillet à Avignon pour son spectacle FANTASY

On parle fantasmes ❤️‍🔥🤤🍑

Avec la fabuleuse @juliapalombe que vous pouvez aller applaudir le 5 juillet à Avignon pour son spectacle FANTASY

🎙️ EPISODE #6 : Défier la fatalité avec ESTELLE MEYER
Présenté par Nathalie LEFEVRE

Préparez-vous à une nouvelle dose d’EXTAZ où l’art, la poésie, et le théâtre deviennent des voies pour défier la fatalité.

Dans cet épisode incandescent, j’ai l’immense joie de recevoir Estelle Meyer, artiste polymorphe, comédienne et chanteuse. Ensemble, nous plongeons dans une conversation profonde et vibrante sur ce que signifie incarner, transcender, et réconcilier. Estelle nous livre une parole libre et sororale, lumineuse et radicale, qui fait du bien à nos humanités.

Un épisode comme une cérémonie, pour commencer à s’entendre, se comprendre et se reconnecter.

Lien de l’épisode dans ma bio ou directement via notre chaîne YouTube EXTAZ.

🎙️ EPISODE #6 : Défier la fatalité avec ESTELLE MEYER
Présenté par Nathalie LEFEVRE

Préparez-vous à une nouvelle dose d’EXTAZ où l’art, la poésie, et le théâtre deviennent des voies pour défier la fatalité.

Dans cet épisode incandescent, j’ai l’immense joie de recevoir Estelle Meyer, artiste polymorphe, comédienne et chanteuse. Ensemble, nous plongeons dans une conversation profonde et vibrante sur ce que signifie incarner, transcender, et réconcilier. Estelle nous livre une parole libre et sororale, lumineuse et radicale, qui fait du bien à nos humanités.

Un épisode comme une cérémonie, pour commencer à s’entendre, se comprendre et se reconnecter.

Lien de l’épisode dans ma bio ou directement via notre chaîne YouTube EXTAZ.

Cette semaine j’ai été piqué : par l’amour de mes amis et de ceux qui le deviennent, par cette incroyable vibe marseillaise et cette magie levantine, par une méduse un peu vénère, par un mariage bouleversant, et par la vie tout simplement.

#somethingsaremeanttobe ❤️‍🔥

Cette semaine j’ai été piqué : par l’amour de mes amis et de ceux qui le deviennent, par cette incroyable vibe marseillaise et cette magie levantine, par une méduse un peu vénère, par un mariage bouleversant, et par la vie tout simplement.

#somethingsaremeanttobe ❤️‍🔥

Je n’obéis qu’à ce que j’aime.
C’est une règle que j’applique depuis l’enfance.

Alors partout, tout le temps, dans ma manière de tisser du lien avec le monde, je place cette dimension : je veux tomber amoureuse.
Amoureuse de mes invités dans Extaz, de mes différents projets, de mes amitiés naissantes, de mes liens indéterminés aux choses et aux êtres, de mes années sur Terre, de ma chance d’exister.

Je ne mets pas tous mes œufs dans le panier de mes histoires sentimentales.
Il y a tellement d’autres formes d’amour que celui du couple. Il y a la vie.
À chaque pas où tu écoutes ton désir, à chaque décision où tu sondes ton envie, à chaque expérience où tu évalues ton niveau de plaisir, tu œuvres à faire évoluer ton existence vers l’amour.
Vers cette intensité délicieuse qui enrichit ta bibliothèque intérieure de souvenirs inoubliables.

Alors oui, à chaque épisode d’EXTAZ, je souris en lisant vos messages :
« Ça se voit qu’il se passe quelque chose entre toi et ton invité 😉 »
Et sachez-le : il se passe en effet toujours quelque chose avec mon invité.
Car je ne peux offrir cet écrin sincère qu’à ceux qui m’ont fait ressentir ce frisson.

Sinon, ce n’est que de l’intellect.
Sinon, ce n’est qu’un format intéressant.
Et moi, ce que je veux, c’est une émission vibrante et vivante.
Une émission dans laquelle je ne me contente pas de mettre des êtres inspirants en lumière.
Ce que je vous propose, c’est de rencontrer des gens à aimer.

Je n’obéis qu’à ce que j’aime.
C’est une règle que j’applique depuis l’enfance.

Alors partout, tout le temps, dans ma manière de tisser du lien avec le monde, je place cette dimension : je veux tomber amoureuse.
Amoureuse de mes invités dans Extaz, de mes différents projets, de mes amitiés naissantes, de mes liens indéterminés aux choses et aux êtres, de mes années sur Terre, de ma chance d’exister.

Je ne mets pas tous mes œufs dans le panier de mes histoires sentimentales.
Il y a tellement d’autres formes d’amour que celui du couple. Il y a la vie.
À chaque pas où tu écoutes ton désir, à chaque décision où tu sondes ton envie, à chaque expérience où tu évalues ton niveau de plaisir, tu œuvres à faire évoluer ton existence vers l’amour.
Vers cette intensité délicieuse qui enrichit ta bibliothèque intérieure de souvenirs inoubliables.

Alors oui, à chaque épisode d’EXTAZ, je souris en lisant vos messages :
« Ça se voit qu’il se passe quelque chose entre toi et ton invité 😉 »
Et sachez-le : il se passe en effet toujours quelque chose avec mon invité.
Car je ne peux offrir cet écrin sincère qu’à ceux qui m’ont fait ressentir ce frisson.

Sinon, ce n’est que de l’intellect.
Sinon, ce n’est qu’un format intéressant.
Et moi, ce que je veux, c’est une émission vibrante et vivante.
Une émission dans laquelle je ne me contente pas de mettre des êtres inspirants en lumière.
Ce que je vous propose, c’est de rencontrer des gens à aimer.

Préparez-vous à une nouvelle montée d’EXTAZ, délicate et vibrante.

Saphia Wesphael, auteure et philosophe de formation, nous convie à une exploration profonde et poétique de la vulnérabilité humaine. A travers ses différentes collaborations artistiques et audiovisuelles, elle a su rendre la philosophie source d’émotions.

Dans cet épisode, elle nous invite à sublimer nos fragilités, non pas pour les fuir, mais pour en faire nos plus beaux canaux d’inspiration.

Avec elle, le beau n’est pas un concept, c’est une matière vivante.

Une dose d’Extaz comme une caresse : sensible, émouvante et pleine de justesse.

Épisode à retrouver en intégralité sur notre chaîne YouTube EXTAZ !

Préparez-vous à une nouvelle montée d’EXTAZ, délicate et vibrante.

Saphia Wesphael, auteure et philosophe de formation, nous convie à une exploration profonde et poétique de la vulnérabilité humaine. A travers ses différentes collaborations artistiques et audiovisuelles, elle a su rendre la philosophie source d’émotions.

Dans cet épisode, elle nous invite à sublimer nos fragilités, non pas pour les fuir, mais pour en faire nos plus beaux canaux d’inspiration.

Avec elle, le beau n’est pas un concept, c’est une matière vivante.

Une dose d’Extaz comme une caresse : sensible, émouvante et pleine de justesse.

Épisode à retrouver en intégralité sur notre chaîne YouTube EXTAZ !

Un week-end « sous » amour 💊❤️‍🔥 🏖️

1) Tenue de diva pour officier le mariage de mes cœurs @mathioutrt et @icijules 🩶
2) Les copains d’amour
3) L’île du levant sublime au coucher du soleil
4) La mariée 💍🍑
5) re les copains d’amour
6) Cérémonie de mariage 💒
7) Pas besoin de légende 🤣
8) Le résultat de beaucoup beaucoup d’amour (et d’alcool 🤫)
9) Les têtes du dimanche après 4 heures de sommeil 😎

Un week-end « sous » amour 💊❤️‍🔥 🏖️

1) Tenue de diva pour officier le mariage de mes cœurs @mathioutrt et @icijules 🩶
2) Les copains d’amour
3) L’île du levant sublime au coucher du soleil
4) La mariée 💍🍑
5) re les copains d’amour
6) Cérémonie de mariage 💒
7) Pas besoin de légende 🤣
8) Le résultat de beaucoup beaucoup d’amour (et d’alcool 🤫)
9) Les têtes du dimanche après 4 heures de sommeil 😎

Merci pour vos nombreux retours sur ce nouvel épisode d’EXTAZ!

Je suis si fière de ce programme et de toute cette transmission vivante, émouvante et nécessaire que nous offrons à travers nos différents sujets.

Si vous n’avez pas encore visionné notre interview avec Sikou Niakate, je vous la conseille vivement. Vous risquez de vous prendre un beau shoot d’humanité!

L’épisode est disponible en intégralité sur notre chaîne YouTube.

Merci pour vos nombreux retours sur ce nouvel épisode d’EXTAZ!

Je suis si fière de ce programme et de toute cette transmission vivante, émouvante et nécessaire que nous offrons à travers nos différents sujets.

Si vous n’avez pas encore visionné notre interview avec Sikou Niakate, je vous la conseille vivement. Vous risquez de vous prendre un beau shoot d’humanité!

L’épisode est disponible en intégralité sur notre chaîne YouTube.

Préparez-vous à une nouvelle vague d’EXTAZ, brute, lucide et essentielle. Sikou Niakate est un auteur et réalisateur qui filme avec les tripes et questionne avec le cœur.

Dans cet épisode, il met en lumière les silences lourds, les colères rentrées, les failles cachées derrière les masques virils. Être un homme noir en France, grandir dans la précarité, survivre, se construire et exister tout entier, sans renier sa sensibilité : c’est tout cela que Sikou explore, déconstruit et transforme en art.

Son œuvre est un cri doux, une invitation à déposer les armes pour enfin se dire, se ressentir, se révéler. Une dose d’Extaz comme un retour au vulnérable et ce qui palpite derrière nos armures. Un grand merci à Sikou pour sa parole inspirante et nécessaire!

Interview disponible sur notre chaîne YouTube EXTAZ

Préparez-vous à une nouvelle vague d’EXTAZ, brute, lucide et essentielle. Sikou Niakate est un auteur et réalisateur qui filme avec les tripes et questionne avec le cœur.

Dans cet épisode, il met en lumière les silences lourds, les colères rentrées, les failles cachées derrière les masques virils. Être un homme noir en France, grandir dans la précarité, survivre, se construire et exister tout entier, sans renier sa sensibilité : c’est tout cela que Sikou explore, déconstruit et transforme en art.

Son œuvre est un cri doux, une invitation à déposer les armes pour enfin se dire, se ressentir, se révéler. Une dose d’Extaz comme un retour au vulnérable et ce qui palpite derrière nos armures. Un grand merci à Sikou pour sa parole inspirante et nécessaire!

Interview disponible sur notre chaîne YouTube EXTAZ

Ton coeur connaît le chemin. 💫

Retrouvez l’intégralité de cet épisode passionnant avec @cyriellehariel sur notre chaîne YouTube EXTAZ 💊

Ton coeur connaît le chemin. 💫

Retrouvez l’intégralité de cet épisode passionnant avec @cyriellehariel sur notre chaîne YouTube EXTAZ 💊

Préparez-vous à une nouvelle vague d’EXTAZ avec notre troisième invitée.
@cyriellehariel est une messagère du vivant, une journaliste engagée dont chaque mot ne cherche pas seulement à informer, mais à éveiller.

Dans cet épisode, elle nous raconte les grands voyages de sa vie, un chemin forgé par les rencontres, les épreuves, et les grandes causes. Cyrielle incarne cette vérité rare : on sauve souvent en cherchant à se sauver soi-même. Chaque combat pour la planète, chaque immersion dans le silence des océans résonne comme une quête intime de guérison, de sens et d’amour.

Une dose d’Extaz comme une plongée dans l’essentiel 🩵

Épisode disponible sur notre chaîne YouTube EXTAZ.

Préparez-vous à une nouvelle vague d’EXTAZ avec notre troisième invitée.
@cyriellehariel est une messagère du vivant, une journaliste engagée dont chaque mot ne cherche pas seulement à informer, mais à éveiller.

Dans cet épisode, elle nous raconte les grands voyages de sa vie, un chemin forgé par les rencontres, les épreuves, et les grandes causes. Cyrielle incarne cette vérité rare : on sauve souvent en cherchant à se sauver soi-même. Chaque combat pour la planète, chaque immersion dans le silence des océans résonne comme une quête intime de guérison, de sens et d’amour.

Une dose d’Extaz comme une plongée dans l’essentiel 🩵

Épisode disponible sur notre chaîne YouTube EXTAZ.

EXTAZ : Debrief de l’épisode #2 avec la merveilleuse Julia Palombe!

Retrouvez l’épisode en intégralité sur notre chaîne YouTube EXTAZ.

EXTAZ : Debrief de l’épisode #2 avec la merveilleuse Julia Palombe!

Retrouvez l’épisode en intégralité sur notre chaîne YouTube EXTAZ.

Ti voglio bene/je te veux du bien = meilleur dirty talk ever 🫠🤤

Et vous, quels mots d’amour vous font de l’effet ?

Épisode disponible en intégralité sur YouTube ❤️‍🔥

Ti voglio bene/je te veux du bien = meilleur dirty talk ever 🫠🤤

Et vous, quels mots d’amour vous font de l’effet ?

Épisode disponible en intégralité sur YouTube ❤️‍🔥

Préparez-vous à une nouvelle montée d’EXTAZ avec notre deuxième invitée 💊

Artiste audacieuse, et avant-gardiste, @juliapalombe est une figure emblématique de la libération sensuelle. Ses créations artistiques célèbrent une sexualité décomplexée, poétique et source d’élévation.

Laissez-vous emporter par l’énergie envoutante de cette femme qui bouscule les tabous et nous invite à nous reconnecter à notre désir de vivre, d’aimer et de jouir. Cet épisode promet d’être une dose intense de réflexions et de sensations délicieuses.

Merci @juliapalombe pour l’élégance de ta pensée et cette fabuleuse énergie de vie que tu incarnes et transmets avec passion ❤️‍🔥

Lien de l’épisode en bio 🚀

Préparez-vous à une nouvelle montée d’EXTAZ avec notre deuxième invitée 💊

Artiste audacieuse, et avant-gardiste, @juliapalombe est une figure emblématique de la libération sensuelle. Ses créations artistiques célèbrent une sexualité décomplexée, poétique et source d’élévation.

Laissez-vous emporter par l’énergie envoutante de cette femme qui bouscule les tabous et nous invite à nous reconnecter à notre désir de vivre, d’aimer et de jouir. Cet épisode promet d’être une dose intense de réflexions et de sensations délicieuses.

Merci @juliapalombe pour l’élégance de ta pensée et cette fabuleuse énergie de vie que tu incarnes et transmets avec passion ❤️‍🔥

Lien de l’épisode en bio 🚀

Merci à la merveilleuse @nellysorbier pour son invitation en direct sur @icidromeardeche

Ce matin, nous avons parlé « complexes » avec les auditeurs et c’était passionnant. Merci pour vos témoignages et appels !

Lets go se sentir libre d’être qui l’on est et de kiffer ça ❤️‍🔥

Retrouvez l’intégralité de l’émission sur le site https://www.francebleu.fr/radio/drome-ardeche

Merci à la merveilleuse @nellysorbier pour son invitation en direct sur @icidromeardeche

Ce matin, nous avons parlé « complexes » avec les auditeurs et c’était passionnant. Merci pour vos témoignages et appels !

Lets go se sentir libre d’être qui l’on est et de kiffer ça ❤️‍🔥

Retrouvez l’intégralité de l’émission sur le site https://www.francebleu.fr/radio/drome-ardeche

Tant qu’une femme sera obsédée par l’insuffisance de son physique, elle ne sera pas occupée à conquérir le monde.

J’ai toujours senti qu’être née femme impliquait une mission. Des deux genres, c’est le moins anodin, le plus mystique à incarner. La peau d’une femme est la porte d’un temple. À l’intérieur de nos corps — ceux-là mêmes qu’on nous pousse à haïr — se cache le lieu même de la création. Mais combien de femmes en ont conscience aujourd’hui ?

Mesdames, vous avez cédé votre pouvoir. Aux injonctions de cette société, aux mauvaises relations affectives, au sexe sans magie ni amour, à des ambitions innateignables et à un regard de jugement sur vous-même. Ces dernières décennies, on vous a invitées à être libres, mais jamais on ne vous a guidées à l’être vraiment. Vous vivez dans une prison invisible, celle qui vous pousse à vous comparer plutôt qu’à vous entreprendre, à donner sans vous assurer de recevoir, à vous perdre dans des complexes qui, chaque année, vous réduisent un peu plus, jusqu’à nier ce que vous êtes profondément.

J’ai grandi dans l’illusion d’un monde libre, où les femmes avaient pleinement le droit d’exister. Mais combien sont-elles, réellement ? Plus je vieillis, plus je vois à quel point la société a cherché à nous contenir, à nous abuser. C’est structurel. Cela imprègne nos vies, dans la manière dont nous avons reçu le féminin… et l’avons rejeté. Comme s’il était un fardeau d’injustices plutôt qu’un trésor à honorer.

Il est urgent d’arrêter d’avoir peur, de se taire, de subir. Il est grand temps d’intégrer notre vraie puissance : celle de la vie, du plaisir et de la fécondité. Nous portons dans nos ventres le mode d’emploi même de l’existence. Alors pourquoi stagner et se laisser éteindre ?

Rallumez la flamme. Emparez-vous de vous-mêmes. Investissez vos richesses. Et cessez, le plus vite possible, de vous dénigrer, de vous trahir et de vous rabaisser. La vie est courte, mais surtout précieuse. Alors vivez-la pleinement. Soyez éblouissantes. Sans retenue.

Détachez vos emprises et soyez libres.

Tant qu’une femme sera obsédée par l’insuffisance de son physique, elle ne sera pas occupée à conquérir le monde.

J’ai toujours senti qu’être née femme impliquait une mission. Des deux genres, c’est le moins anodin, le plus mystique à incarner. La peau d’une femme est la porte d’un temple. À l’intérieur de nos corps — ceux-là mêmes qu’on nous pousse à haïr — se cache le lieu même de la création. Mais combien de femmes en ont conscience aujourd’hui ?

Mesdames, vous avez cédé votre pouvoir. Aux injonctions de cette société, aux mauvaises relations affectives, au sexe sans magie ni amour, à des ambitions innateignables et à un regard de jugement sur vous-même. Ces dernières décennies, on vous a invitées à être libres, mais jamais on ne vous a guidées à l’être vraiment. Vous vivez dans une prison invisible, celle qui vous pousse à vous comparer plutôt qu’à vous entreprendre, à donner sans vous assurer de recevoir, à vous perdre dans des complexes qui, chaque année, vous réduisent un peu plus, jusqu’à nier ce que vous êtes profondément.

J’ai grandi dans l’illusion d’un monde libre, où les femmes avaient pleinement le droit d’exister. Mais combien sont-elles, réellement ? Plus je vieillis, plus je vois à quel point la société a cherché à nous contenir, à nous abuser. C’est structurel. Cela imprègne nos vies, dans la manière dont nous avons reçu le féminin… et l’avons rejeté. Comme s’il était un fardeau d’injustices plutôt qu’un trésor à honorer.

Il est urgent d’arrêter d’avoir peur, de se taire, de subir. Il est grand temps d’intégrer notre vraie puissance : celle de la vie, du plaisir et de la fécondité. Nous portons dans nos ventres le mode d’emploi même de l’existence. Alors pourquoi stagner et se laisser éteindre ?

Rallumez la flamme. Emparez-vous de vous-mêmes. Investissez vos richesses. Et cessez, le plus vite possible, de vous dénigrer, de vous trahir et de vous rabaisser. La vie est courte, mais surtout précieuse. Alors vivez-la pleinement. Soyez éblouissantes. Sans retenue.

Détachez vos emprises et soyez libres.

[ Extrait de mon live d’hier ]

Bienvenue dans EXTAZ ❤️‍🔥🚀Tellement fière de ce projet d’émission/podcast et de toutes les belles rencontres, émotions et sensations qu’elle va nous offrir de vivre✨

Le prochain épisode sera mis en ligne mercredi à 18h, je sais d’avance que vous allez adorer notre invité ! C’est un feu de vie, de joie et de plaisir.

Merci pour votre soutien autour du projet 🤲 et retrouvez le lien de la chaîne YouTube dans ma bio insta 💫

[ Extrait de mon live d’hier ]

Bienvenue dans EXTAZ ❤️‍🔥🚀Tellement fière de ce projet d’émission/podcast et de toutes les belles rencontres, émotions et sensations qu’elle va nous offrir de vivre✨

Le prochain épisode sera mis en ligne mercredi à 18h, je sais d’avance que vous allez adorer notre invité ! C’est un feu de vie, de joie et de plaisir.

Merci pour votre soutien autour du projet 🤲 et retrouvez le lien de la chaîne YouTube dans ma bio insta 💫

Debrief EXTAZ
Épisode #1

Pour retrouver l’intégralité de l’épisode, rendez-vous sur YouTube ou sur toutes les plates-formes de podcast.

Debrief EXTAZ
Épisode #1

Pour retrouver l’intégralité de l’épisode, rendez-vous sur YouTube ou sur toutes les plates-formes de podcast.

En attendant le printemps, j’ai cultivé mes projets. L’année peut enfin commencer 🌸

#norouz

En attendant le printemps, j’ai cultivé mes projets. L’année peut enfin commencer 🌸

#norouz

Une première dose d’EXTAZ et quelle dose !

Un immense merci à Kevin Finel d’être le tout premier invité de cette aventure informative et sensorielle. Son regard fascinant sur la conscience nous entraine dans un voyage où chaque mot résonne comme une invitation à explorer nos esprits.

Préparez-vous à savourer cette montée d’enthousiasme, à laisser vos repères se réinventer, et à vous abandonner le temps de cette interview à de nouvelles idées. Cet épisode est un shoot de réflexion inspirante et un frisson pour le corps, le coeur et l’esprit.

Hâte de lire vos retours et n’hésitez pas à vous abonner à notre chaîne YouTube EXTAZ pour être tenu informé des prochains épisodes.

Bonne découverte ❤️‍🔥

Une première dose d’EXTAZ et quelle dose !

Un immense merci à Kevin Finel d’être le tout premier invité de cette aventure informative et sensorielle. Son regard fascinant sur la conscience nous entraine dans un voyage où chaque mot résonne comme une invitation à explorer nos esprits.

Préparez-vous à savourer cette montée d’enthousiasme, à laisser vos repères se réinventer, et à vous abandonner le temps de cette interview à de nouvelles idées. Cet épisode est un shoot de réflexion inspirante et un frisson pour le corps, le coeur et l’esprit.

Hâte de lire vos retours et n’hésitez pas à vous abonner à notre chaîne YouTube EXTAZ pour être tenu informé des prochains épisodes.

Bonne découverte ❤️‍🔥

Des news 💌

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Restez connectés, l’aventure commence bientôt sur YouTube 🎥❤️‍🔥
#Extaz💊

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#Extaz💊

Entreprendre ou subir

Pour réserver votre séance de coaching individuel, lien en bio

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2024 m’a ramenée à l’essentiel, avec ferveur et m’a recentrée sur ce qui comptait vraiment.

Cette année, je suis devenue abstinente de toutes les énergies, vibrations et rencontres qui n’allaient plus dans le sens de la destinée que je me suis promise.

Petit à petit, j’ai coupé les sources d’excitation frustrantes, celles qui empêchent de vivre ce qui importe vraiment. J’ai tout simplement fait de la place. J’ai rassemblé mes forces pour avoir de moins en moins peur du vide.

Et puis, j’ai vécu un miracle : celui de partager l’amour auprès de ceux que j’aime le plus au monde. J’ai fait les rencontres que j’espérais : avec des âmes, des idées, des êtres dont je sais déjà que je me souviendrai pour l’éternité.

Chaque année, on fait le bilan, un état des lieux de nos vies, un reset de nos énergies. Mais cette année, j’ai cette sensation unique d’être venue au monde une seconde fois.

À l’aube de cette nouvelle histoire, ma hâte est immense. Mais avant tout, j’ai une certitude absolue : il n’y a rien à attendre, tout est à créer, à vivre et à attirer.

Ni rose ni épine, 2024, je te remercie pour tes puissants apprentissages. Une année après laquelle plus rien ne sera jamais pareil.

2025, je le sens dans toutes mes cellules : on va plier le game. 🧨❤️‍🔥

2024 m’a ramenée à l’essentiel, avec ferveur et m’a recentrée sur ce qui comptait vraiment.

Cette année, je suis devenue abstinente de toutes les énergies, vibrations et rencontres qui n’allaient plus dans le sens de la destinée que je me suis promise.

Petit à petit, j’ai coupé les sources d’excitation frustrantes, celles qui empêchent de vivre ce qui importe vraiment. J’ai tout simplement fait de la place. J’ai rassemblé mes forces pour avoir de moins en moins peur du vide.

Et puis, j’ai vécu un miracle : celui de partager l’amour auprès de ceux que j’aime le plus au monde. J’ai fait les rencontres que j’espérais : avec des âmes, des idées, des êtres dont je sais déjà que je me souviendrai pour l’éternité.

Chaque année, on fait le bilan, un état des lieux de nos vies, un reset de nos énergies. Mais cette année, j’ai cette sensation unique d’être venue au monde une seconde fois.

À l’aube de cette nouvelle histoire, ma hâte est immense. Mais avant tout, j’ai une certitude absolue : il n’y a rien à attendre, tout est à créer, à vivre et à attirer.

Ni rose ni épine, 2024, je te remercie pour tes puissants apprentissages. Une année après laquelle plus rien ne sera jamais pareil.

2025, je le sens dans toutes mes cellules : on va plier le game. 🧨❤️‍🔥

Bilan 2024 et surprises ✨

Bilan 2024 et surprises ✨

Carl Jung disait : « Tant que vous n’aurez pas rendu l’inconscient conscient, il dirigera votre vie et vous appellerez cela le destin. »

Se sentir libre en théorie mais en pratique :

Tes insécurités t’empêchent d’avancer ? De te faire confiance ou de faire confiance aux autres ?
De te sentir légitime de penser et d’agir comme tu le ressens ?
D’être à ta place, de bâtir une vie qui te ressemble ? De poser des limites, d’en dépasser d’autres ?
La peur prend elle le contrôle sur des parts de ta vie ?
As tu l’impression de subir plutôt que de créer ?

Je comprends très bien ce que tu traverses car je l’ai moi même vécu à de nombreuses reprises de ma vie. Maintes fois j’ai eu l’ambition d’être libre mais cependant des entraves continuaient d’apparaître sur mon chemin me rendant fragile, apeurée, démunie, voir malheureuse.

Nous allons partir de cette base, de tout ce que tu ressens encore de souffrant, vis à vis de toi, des autres et de cette vie. Nous allons transformer ce que tu interprètes comme des injustices, faire apparaître des nouvelles voix de réflexions, de décisions, et d’évolutions.

Nous allons fonder un nouveau socle et solidifier un engagement : celui de choisir de te rendre heureuse et de mieux saisir par quels moyens concrets cela s’entretient-il dans le quotidien!

Prête pour ce voyage d’une demi journée pour commencer à faire exploser tous ces verrous? Rendez vous pour cet atelier exceptionnel le samedi 21 décembre !

Lien d’inscription en bio 💫

Carl Jung disait : « Tant que vous n’aurez pas rendu l’inconscient conscient, il dirigera votre vie et vous appellerez cela le destin. »

Se sentir libre en théorie mais en pratique :

Tes insécurités t’empêchent d’avancer ? De te faire confiance ou de faire confiance aux autres ?
De te sentir légitime de penser et d’agir comme tu le ressens ?
D’être à ta place, de bâtir une vie qui te ressemble ? De poser des limites, d’en dépasser d’autres ?
La peur prend elle le contrôle sur des parts de ta vie ?
As tu l’impression de subir plutôt que de créer ?

Je comprends très bien ce que tu traverses car je l’ai moi même vécu à de nombreuses reprises de ma vie. Maintes fois j’ai eu l’ambition d’être libre mais cependant des entraves continuaient d’apparaître sur mon chemin me rendant fragile, apeurée, démunie, voir malheureuse.

Nous allons partir de cette base, de tout ce que tu ressens encore de souffrant, vis à vis de toi, des autres et de cette vie. Nous allons transformer ce que tu interprètes comme des injustices, faire apparaître des nouvelles voix de réflexions, de décisions, et d’évolutions.

Nous allons fonder un nouveau socle et solidifier un engagement : celui de choisir de te rendre heureuse et de mieux saisir par quels moyens concrets cela s’entretient-il dans le quotidien!

Prête pour ce voyage d’une demi journée pour commencer à faire exploser tous ces verrous? Rendez vous pour cet atelier exceptionnel le samedi 21 décembre !

Lien d’inscription en bio 💫

Tant qu’on n’a pas la maîtrise sur soi, on cherche à maîtriser notre monde extérieur.

Merci @nellysorbier pour son invitation à parler d’amour de soi sur @francebleuda et de mon tout premier livre sorti en 2018 : C’est décidé je m’épouse, aux éditions Larousse.

Le podcast de l’émission est disponible sur le site https://www.francebleu.fr/radio/drome-ardeche

Love sur vous 💚

Tant qu’on n’a pas la maîtrise sur soi, on cherche à maîtriser notre monde extérieur.

Merci @nellysorbier pour son invitation à parler d’amour de soi sur @francebleuda et de mon tout premier livre sorti en 2018 : C’est décidé je m’épouse, aux éditions Larousse.

Le podcast de l’émission est disponible sur le site https://www.francebleu.fr/radio/drome-ardeche

Love sur vous 💚

Amour, gloire et fessée #dernierepisode

Amour, gloire et fessée #dernierepisode

Amour, gloire et fessée #3

Amour, gloire et fessée #3

Amour, gloire et fessée #2

Amour, gloire et fessée #2

«Je t’admire pour ton rayonnement et ta foi, ton optimisme à toute épreuve. J’essaie de faire un pas de plus qu’hier vers mes rêves même si l’actualité du monde en démolit beaucoup»

C’est un message que j’ai reçu aujourd’hui et dont j’ai eu envie de vous partager la réponse. Je suis évidemment bouleversée par toutes les atrocités de ce monde, apeurée de ce qu’on fait aux enfants, aux femmes et aux êtres dont la différence dérange.

MAIS, je ne peux pas vivre dans cet état permanent, je ne peux pas ignorer ma chance d’être à cette place précise, je ne peux pas gâcher cette opportunité.

Je me dois d’être libre pour toutes les femmes qui n’ont pas le choix de l’être.
Je me dois d’aimer pour dissiper la colère, la frustration, la haine parfois, de mon propre système.
Je me dois d’entreprendre chaque jour comme une aventure dont les rencontres, les projets et les liens vont nourrir mon être de l’essentiel.

Sinon je meurs. Si je perds ma foi en des lendemains meilleurs pour nous tous, en la certitude de la bienveillance, la gentillesse et l’ouverture de grands nombres d’êtres humains, en l’idée même du sens.

Alors je me relève, de mes propres états d’âmes, de mes peurs structurelles, de ce vide angoissant.

Je ne suis pas née rayonnante, mais je me bats corps et âme, pour continuer à m’éclairer. Et je crois que cette lumière vous fait du bien. Car j’ignorais au départ que je portais ça en moi, mais l’existence m’a invité à le découvrir et à en faire usage.

Je ne me réveille pas toujours tournée vers le meilleur, mais je m’attèle à réajuster la direction intérieure, qui a besoin de mon assistance.

Je crois en l’amour, et honnêtement, dans cette vie, c’est la plus grande contribution que je veux avoir. Je sais qui je suis « sous amour », je sais qui je deviens lorsque j’en manque. Et je sais que c’est pour nous tous pareil.

Alors j’apprends, chaque jour d’avantage, je peaufine mes pensées, mes gestes, mes actions. Je rate parfois mais de moins en moins avec le temps. J’apprends à faire vivre l’amour, sans discontinuité entre moi et les autres, entre cette vie et mes attentes, pour l’instant présent et son futur.

Je me dois de vivre pour survivre.

«Je t’admire pour ton rayonnement et ta foi, ton optimisme à toute épreuve. J’essaie de faire un pas de plus qu’hier vers mes rêves même si l’actualité du monde en démolit beaucoup»

C’est un message que j’ai reçu aujourd’hui et dont j’ai eu envie de vous partager la réponse. Je suis évidemment bouleversée par toutes les atrocités de ce monde, apeurée de ce qu’on fait aux enfants, aux femmes et aux êtres dont la différence dérange.

MAIS, je ne peux pas vivre dans cet état permanent, je ne peux pas ignorer ma chance d’être à cette place précise, je ne peux pas gâcher cette opportunité.

Je me dois d’être libre pour toutes les femmes qui n’ont pas le choix de l’être.
Je me dois d’aimer pour dissiper la colère, la frustration, la haine parfois, de mon propre système.
Je me dois d’entreprendre chaque jour comme une aventure dont les rencontres, les projets et les liens vont nourrir mon être de l’essentiel.

Sinon je meurs. Si je perds ma foi en des lendemains meilleurs pour nous tous, en la certitude de la bienveillance, la gentillesse et l’ouverture de grands nombres d’êtres humains, en l’idée même du sens.

Alors je me relève, de mes propres états d’âmes, de mes peurs structurelles, de ce vide angoissant.

Je ne suis pas née rayonnante, mais je me bats corps et âme, pour continuer à m’éclairer. Et je crois que cette lumière vous fait du bien. Car j’ignorais au départ que je portais ça en moi, mais l’existence m’a invité à le découvrir et à en faire usage.

Je ne me réveille pas toujours tournée vers le meilleur, mais je m’attèle à réajuster la direction intérieure, qui a besoin de mon assistance.

Je crois en l’amour, et honnêtement, dans cette vie, c’est la plus grande contribution que je veux avoir. Je sais qui je suis « sous amour », je sais qui je deviens lorsque j’en manque. Et je sais que c’est pour nous tous pareil.

Alors j’apprends, chaque jour d’avantage, je peaufine mes pensées, mes gestes, mes actions. Je rate parfois mais de moins en moins avec le temps. J’apprends à faire vivre l’amour, sans discontinuité entre moi et les autres, entre cette vie et mes attentes, pour l’instant présent et son futur.

Je me dois de vivre pour survivre.

📕Irrésistible @laroussepratique

📕Irrésistible @laroussepratique

Amour, gloire et fessée : le papotage sans tabou du lundi

Si vous souhaitez allez plus loin et réserver une séance, rendez vous sur mon site internet www.cestdecidejemepouse.com

Bon lundi à tous 💎

Amour, gloire et fessée : le papotage sans tabou du lundi

Si vous souhaitez allez plus loin et réserver une séance, rendez vous sur mon site internet www.cestdecidejemepouse.com

Bon lundi à tous 💎

Cessez de prendre vos décisions pour vous rassurer, prenez-les pour aimer et honorer cet être que vous étiez, celui que vous êtes et celui qui naîtra du mariage serein et apaisé entre les deux premiers.

Extrait d’Irresistible aux éditions @laroussepratique

Disponible partout ✨

Cessez de prendre vos décisions pour vous rassurer, prenez-les pour aimer et honorer cet être que vous étiez, celui que vous êtes et celui qui naîtra du mariage serein et apaisé entre les deux premiers.

Extrait d’Irresistible aux éditions @laroussepratique

Disponible partout ✨

Depuis que je suis gamine, je m’invente des histoires.

Ce n’est pas tant que mes narrations intérieures déforment ma réalité, c’est plutôt qu’elles tentent de la sublimer. Je me sens dotée de la capacité à vivre avec poésie ; je crois que c’est quelque chose que ressentent les artistes, les sensibles, les créatifs. Là où certains perçoivent le banal, d’autres y traduisent le merveilleux.

J’ai parfois eu l’impression d’être ce genre de personne qui ressent trop, qui exprime trop, qui désire trop. Comme si j’étais mal réglée aux volumes de l’existence.

La vie nous veut dans l’équilibre, ça j’en suis certaine. En revanche, la vie nous invite également à reconnaître son talent : celui de rendre le calme intense, la pluie joyeuse, l’amour invincible, et le divin présent dans chaque pas et chaque rencontre. Faire des petits riens de grands tout. S’émouvoir aux larmes pour un sourire, une naissance, des retrouvailles, une aube.

Mon volume est peut-être mal réglé, mais il est surtout ajusté à la vie telle que j’ai toujours voulu la ressentir : puissante, évidente, fulgurante. À saisir dans l’instant, à savourer sur le moment, sans jamais être rassasiée du désir de la minute suivante.

Depuis que je suis gamine, je m’invente des histoires.

Ce n’est pas tant que mes narrations intérieures déforment ma réalité, c’est plutôt qu’elles tentent de la sublimer. Je me sens dotée de la capacité à vivre avec poésie ; je crois que c’est quelque chose que ressentent les artistes, les sensibles, les créatifs. Là où certains perçoivent le banal, d’autres y traduisent le merveilleux.

J’ai parfois eu l’impression d’être ce genre de personne qui ressent trop, qui exprime trop, qui désire trop. Comme si j’étais mal réglée aux volumes de l’existence.

La vie nous veut dans l’équilibre, ça j’en suis certaine. En revanche, la vie nous invite également à reconnaître son talent : celui de rendre le calme intense, la pluie joyeuse, l’amour invincible, et le divin présent dans chaque pas et chaque rencontre. Faire des petits riens de grands tout. S’émouvoir aux larmes pour un sourire, une naissance, des retrouvailles, une aube.

Mon volume est peut-être mal réglé, mais il est surtout ajusté à la vie telle que j’ai toujours voulu la ressentir : puissante, évidente, fulgurante. À saisir dans l’instant, à savourer sur le moment, sans jamais être rassasiée du désir de la minute suivante.

Les pouvoirs alchimiques de nos créations

Les pouvoirs alchimiques de nos créations

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